samedi 28 février 2015

LA VIE GUESNINOISE DE FÉVRIER 2015 EST PARUE. C'EST À LIRE ICI :

Le bulletin municipal "la Vie guesninoise"en est à sa 3ème parution, avec un intervalle de 4 mois entre chaque numéro, et une pagination renforcée, puisque de 8 pages au départ, il est arrivé à 16 pages . Forcément, cela fait un peu réchauffé pour certains échos qui datent d'octobre 2014, mais la qualité de l'impression fait oublier ce point de détail un peu regrettable. Pour le reste, chacun peut juger sur pièces des différents articles à lire. 



Notre commentaire : On cherchera en vain dans cet éditorial du maire la moindre critique du gouvernement, la moindre allusion à une politique alternative de celle qui continue d'accroître les inégalités, le chômage, les injustices, solidarité municipale oblige. Et l'on notera aussi que, malgré la promesse faite lors d'un conseil municipal précédent, aucune place n'est laissée à l'expression de la minorité municipale, contrairement à ce que prévoit la Loi en ce domaine et le règlement intérieur adopté par le Conseil Municipal. Soyons donc patients pour que ce bulletin municipal devienne à terme un digne reflet de la vie municipale dans toutes ses composantes et sensibilités... Pour ce qui est du souhait formulé dans cet éditorial du maire "de retrouver les valeurs de respect, de solidarité, d'humanisme, de partage et d'égalité des chances qui sont celles de notre République", qu'il nous soit permis d'espérer que cela soit appliqué à Guesnain, pour commencer, et qu'on arrête de mépriser, d'ignorer tous ceux qui ont le malheur de déplaire ou de ne pas faire partie du "cénacle" municipal. Ici et là, nous reviennent en effet des échos faisant état de marques publiques de mépris, de dédain, d'impolitesse manifeste, de la part de ceux qui ont l'honneur de nous représenter tous à la maison commune... Le crime de lèse-majesté ou de disgrace aurait-il donc été réintroduit dans notre ville à notre insu ?
La courtoisie, l'amabilité, la politesse, la civilité n'ont jamais nui à quiconque... Et que ceux qui nous gouvernent, à quelque échelon que ce soit, n'oublient jamais qu'ils sont là au service du peuple et non l'inverse...














Un dernier regret : le bulletin municipal ne rend pas compte des réunions de conseil municipal. Pire encore, il n'annonce pas, quand il le peut, comme c'est le cas avec ce numéro de février,  la date du prochain Conseil Municipal, alors qu'il s'agit d'une réunion publique. Pourquoi donc ?
 Réparons donc cet oubli :



jeudi 19 février 2015

CONTRE LA BAISSE DES DOTATIONS DE L'ÉTAT AUX COMMUNES, LES ÉLUS COMMUNISTES PROPOSENT DE VOTER DES BUDGETS EN DÉSÉQUILIBRE, C'EST DANS L'OBSERVATEUR DU 19 FÉVRIER 2015

Aller contre la loi : c'est la proposition des élus communistes


Révoltés contre la baisse des dotations de l’Etat, les élus communistes font une drôle de proposition aux mairies : voter un budget déséquilibré, ce qui est interdit.

Vendredi 13 février au matin, des élus communistes du Douaisis avaient rendez-vous avec le sous-préfet de Douai. Leur volonté : lui faire comprendre qu'ils refusent la baisse des dotations de l'Etat vers les communes pour 2015, 2016 et 2017. En effet, le gouvernement a lancé un grand plan de diminution de ses aides financières à direction des communes. « A Lewarde, on perd 33 000 euros » , lance Alain Bruneel, le maire de cette commune. A Waziers, il faut compter 20000 à 30 000 euros, 105 000 euros pour la commune d'Auby. Les maires de ces deux communes étaient également présents, accompagnés de deux députés, Marc Dolez et Jean-Jacques Candelier, et d'un conseiller général, Charles Beauchamp. Le sous-préfet a reconnu cette baisse, mais pour qu'il puisse se mettre à la place des maires de son arrondissement, les élus communistes ont eu une drôle d'idée : « Nous allons proposer à toutes les communes de voter un budget non-équilibré » , sourit Freddy Kaczmarek, maire d'Auby. Et Jean-Jacques Candelier d'expliquer : « c'est interdit de voter un tel budget. La sous-préfecture serait obligée de reprendre notre budget. » Et de s'y casser la tête comme les communes le font actuellement pour l'année 2015. Plus sérieusement, les élus communistes pourraient se rapprocher de l'association des maires du Nord. Bien qu'elle soit présidée par un maire UMP (Patrick Masclet, maire d'Arleux), ils pourraient quand même trouver une oreille attentive. En effet, malgré leur différences politiques très notables, la contestation de la baisse des dotations de l'Etat est bien le sujet sur lequel les communistes et Patrick Masclet semblent tenir le même discours.

LE CLUB DE TENNIS DE GUESNAIN FOURMILLE DE JEUNES TALENTS, C'EST DANS L'OBSERVAREUR DE CETTE SEMAINE, 19 FÉVRIER 2015


Croire dans le potentiel des jeunes joueurs, voilà le pari que s’est lancé le club de tennis de Guesnain. Il y a deux ans, les dirigeants ont choisi de créer une structure d'entraînement. « Les jeunes s'entraînaient peu », constate l'un des entraîneurs, Guy Lumbroso. Il fallait donc y remédier. Le club dispose de quatre courts couverts et deux en extérieur. Après de nombreux efforts « pour faire monter le niveau des joueurs » et projets, une dizaine de bons éléments ont émergé. Des joueurs « remarqués au niveau régional par la ligue des Flandres de tennis ». Celle-ci soutient quatre jeunes, en finançant, sous forme de bourse, une partie de leurs nombreux entraînements par des cours individuels. Paloma Hennicaux, Manon Poquet, Thomas Duforets et Clément Fournier visent tous, malgré leur jeune âge, une place parmi les meilleurs mondiaux. « Ils passent chaque semaine plus d'une dizaine d'heures sur les courts, pour continuer à améliorer leur jeu , explique Guy Lumbroso, insistant sur le fait que dans le tennis, il faut s'entraîner sans relâche. Cette méthode fonctionnant bien, nous allons l'étendre dès la rentrée à une “Kids Académie” ».


Des conditions dignes de jeu des meilleurs clubs

Avec une « équipe pédagogique soudée et homogène », le centre d'entraînement « transmet les fondamentaux de façon personnalisée ». Pour Guy Lumbroso, l'important est de « former un individu avant de former un joueur. Les attitudes et les valeurs représentent autant que le jeu. Intégrer le centre d'entraînement signifie aussi beaucoup de réunions avec les parents. Et sur le plan de l'apprentissage, nous travaillons beaucoup avec la vidéo, pour décortiquer la technique et les postures. » De véritables conditions dignes des meilleurs, et qui font leurs preuves. Le club s'attache par ailleurs à accueillir ses licenciés dans les meilleures conditions. Pour réserver les courts, les adhérents ont un accès sécurisé via le site www.tcguesnain.fr Le spacieux club-house permet aussi de partager des moments de convivialité en dehors des entraînements. Enfin, une salle de musculation richement équipée permet à ceux qui le souhaitent de se préparer, ou de s'étirer après les matches. 



Paloma Hennicaux

Née en 2004, Paloma Hennicaux fait partie des trois premières joueuses de la ligue régionale. Son palmarès : 11 au TMC de Charleville Mézières, 3 au TMC les Ch’tiots Nordistes, quart de finaliste au tournoi de Boulogne Billancourt, et finaliste au tournoi de Liévin.

Manon Poquet

Née en 2007, Manon Poquet figure aussi parmi les trois premières joueuses de la ligue. Parmi ses résultats, elle a remporté le Master de Trith-Saint-Léger et le circuit découverte de Saint-Saulve, et s'est hissée en finale du circuit découverte de Marcq-en-Baroeul.

Thomas Duforets

Né en 2007, Thomas Duforets se classe parmi les trois premiers de ligue. Ce fils d'entraîneur de tennis a récemment gagné les tournois de Cambrai et Saint-Saulve, et le Master du Hainaut.

Clément Fournier

Né en 2007, Clément Fournier est classé parmi les 10 joueurs de la Ligue. En 2014, il a gagné le circuit découverte de Saint-Saulve

mercredi 18 février 2015

LES CANDIDATS AUX DÉPARTEMENTALES DES 22 ET 29 MARS SONT MAINTENANT CONNUS.

Élections départementales : les dix-neuf candidat en lice du Douaisis 

Ça y est, l’ensemble des binômes pour les élections départementales des 22 et 29 mars ont déposé leurs candidatures. Pour les quatre cantons du Douaisis (contre sept auparavant), il y aura donc dix-neuf listes. Le tirage au sort de l’ordre des candidats avait lieu lundi soir en préfecture. Présentation.

Canton d’Aniche

UPN : Christelle Delepierre ; Marc Hémez (Monique Parent ; Patrick Masclet) (1)
PC-FG : Charles Beauchamp ; Maryline Lucas (1) (Michel Meurdesoif ; Laury Aquino)
FN : Guy Cannie ; Dany Wattebled (Frédéric Ravez ; Maryvonne Leclercq)
PS : Annie Far ; Jean-Michel Szatny (Laura Andria ; Rudy Dillies)

Canton de Douai

PG : Martine Cherbuis (2) ; François Guiffard (Lara Häger ; Nordine Iriout)
UPN : Christian Poiret ; Caroline Sanchez (Jean-Jacques Peyraud ; Annie Fauvez)
PC : Brigitte Bonnafé-Leriche ; Jean-Philippe Nalewajek (Kokoe Mivedor ; Pierre Rodriguez)
FN : Chantal Bojanek ; Jean-Paul Vermeulen (Angélique Quiquempois ; Renaud Merlin)
PS : Jean-Marie Dupire ; Anne Le Guern (Antoine Senaux ; Lisiane Morelle)
EELV : Hervé Mortelette ; Lucile Wacheux (Bernard Coquelle ; Marie-Andrée Coquelle Verstraete)

Canton d’Orchies

PS : Erick Charton ; Marie-Christine Deghaye (Jean-Paul Francke ; Carine Fieuw)
UPN : Jean-Luc Detavernier ; Marie-Hélène Quatreboeufs-Niklikowski (Alain Mension ; Cassandra Zabinski)
PC : Freddy Kaczmarek ; Nadine Savary (Mathieu Bayart ; Nadine Mortelette)
FN : Suzanne Bisiaux ; Victor Guérin (Bernadette Petit ; Alain Petit)
DLF : Mathieu Fauveau ; Amandine Leclerc (Christophe Boidin ; Christine Landru)

Canton de Sin-le-Noble

PS : Josyane Bridoux ; Frédéric Delannoy (Corinne Amadei (3) ; Arnaud Piesset)
FN : Lucie Deblangy ; Bruno Wosinski (Sylvie Lemaitre, Vincent Biancu)
– Modem-UDI : Jocelyne Charlet ; Samuel Vanlichtervelde (Sandrine De Smet ; Martial Hurlisis)
FG-PC : Michelle Blanquet ; Alain Bruneel (4) (Claudine Parnetzki-Lequet ; Jacky Notot).



Les noms et prénoms entre parenthèses sont ceux des remplaçants.
PS : Parti socialiste ; UPN : Union pour le Nord ; PC : Parti communiste ; FN : Front national ; FG : Front de gauche ; EELV : Europe Écologie-Les Verts ; DLF : Debout la France ; Modem-UDI : Mouvement démocrate-Union des démocrates et indépendants.

(1) Maryline Lucas est candidate titulaire en lieu et place d'Alain Bruneel, parti courir sa chance dans le canton de Sin-le-Noble...
(2) Martine Cherbuis, qui se présente dans le canton de Douai, n'est autre que la fille d'Alexandre Derveaux, bien connu des Guesninois(e)s dont il fut le maire jusqu'en 1995.
(3) Corinne Amadei ne sera pas candidate dans son propre canton mais dans celui de Sin-le-Noble, en position de suppléante,
(4) Alain Bruneel quitte son canton d'Aniche pour partir à la conquête du canton de Sin-le-Noble. L'histoire dira si ce pari risqué qui laisse la voie à l'inconnu pour sa succession a été le bon pour maintenir à gauche les deux cantons ...

lundi 16 février 2015

ALAIN BRUNEEL ABANDONNE LE CANTON D'ANICHE (1) POUR S'ATTAQUER AU CANTON DE SIN LE NOBLE (2)


DOMMAGE COLLATÉRAL DANS LE CANTON D'ANICHE :

LA DURE LOI DE LA PARITÉ HOMMES-FEMMES OBLIGE ALAIN BRUNEEL À ÉMIGRER  ET PRÉSENTER SA CANDIDATURE DANS LE CANTON  DE SIN-LE-NOBLE, AFIN DE LAISSER LA PLACE À CHARLES BEAUCHAMP, CONSEILLER GÉNÉRAL DU CANTON D'ARLEUX (REGROUPÉ AVEC CELUI D'ANICHE) ET METTRE SUR ORBITE LA SEULE FEMME MAIRE COMMUNISTE DU CANTON D'ANICHE, MARYLINE LUCAS, MAIRE DE GUESNAIN MAIS AUSSI VICE-PRÉSIDENTE DU SYNDICAT DES TRANSPORTS ET ADMINISTRATEUR À LA CAD.






COMME ON LE VOIT, LA COURSE AU CUMUL DES MANDATS A ENCORE DE BEAUX JOURS DEVANT ELLE...


(1) Le canton d'Aniche comprend les communes suivantes : Aniche, Arleux, Auberchicourt, Aubigny-au-Bac, Brunémont, Bugnicourt, Cantin, Dechy, Ecaillon, Erchin, Estrées, Féchain, Férin, Fressain, Gœulzin, Guesnain, Hamel, Lécluse, Lewarde, Loffre, Marcq-en-Ostrevent, Masny, Monchecourt, Montigny-en-Ostrevent, Roucourt, Villers-au-Tertre.

(2) Le canton de Sin-le-Noble comprend les communes suivantes : Bruille-lez-Marchiennes, Erre, Fenain, Hornaing, Lallaing, Marchiennes, Pecquencourt, Rieulay, Sin-le-Noble, Somain, Tilloy-lez-Marchiennes, Vred, Wandignies-Hamage, Warlaing, Waziers.

samedi 14 février 2015

LA RANDONNÉE GUESNINOISE VOUS ACCUEILLE TOUS LES DIMANCHES ET TOUS LES JEUDIS POUR UNE MARCHE SYMPA


L'association "Randonnée Guesninoise", dont le bureau vient d'être renouvelé :



propose chaque semaine une marche le dimanche départ 9h00 (sauf sortie extérieure) du parking Golliot et le jeudi de 14h00 à 16h00.



Adhésion: 10 euros (assurance comprise) et 15 euros par couple.
Informations complémentaires sur le blog de la randonnée guesninoise.

Président: Dubrunquez Jean-Claude
44 rue des bleuets
59287 Lewarde
portable: 06 68 67 62 23


POUR CONSULTER LE SITE DE LA RANDONNÉE GUESNINOISE, CLIQUER SUR LA PETITE COCCINELLE CI-DESSOUS :


 RANDONNÉE GUESNINOISE


jeudi 5 février 2015

LA POPULATION DU DOUAISIS EST EN BAISSE, ALORS QU'ELLE EST EN HAUSSE DANS LE MARCHIENNOIS, L'ARLEUSIS ET L'ORCHÉSIS. POURQUOI ?


Toujours plus de logements et une population qui stagne

le Douaisis perd des habitants chaque année, jusqu'à 1% par an

La population de Douai baisse, comme celle de Cuincy, Lauwin-Planque, Sin-le-Noble, Dechy, Guesnain, Waziers, Auby, ou encore Flers-en-Escrebieux. Le SCoT Grand Douaisis nous donne des pistes d’explications.

Douai perd de la population, de manière assez importante
Si la Pévèle est en plein boum, la Cad et la CCCO perdent des habitants. Et visiblement, la tendance s'accentue. Toute l'agglomération perd de la population, alors que l'Arleusis est en légère hausse, tout comme le Marchiennois. Quant à l'Orchésis, il accueille de plus en plus d'habitants. Cela peut s'expliquer par le fait que la Pévèle reçoit les habitants de Lille qui descendent habiter à la campagne, voire plus bas puisque les logements commencent à chiffrer dans ce secteur. On pourrait observer le même phénomène dans le Marchiennois avec Valenciennes, et dans l'Arleusis avec Cambrai. Quand au bassin minier, même si son image tend à s'améliorer avec la rénovation Anru (Agence nationale pour la rénovation urbaine), comme à Dechy, Montigny et Pecquencourt, le secteur est pour l'instant évité, puisqu'il est très construit et comprend moins de terrains encore à bâtir.

Anne-Sophe Pouzols, pour le SCoT (schéma de cohérence territoriale), a mené l’étude démographique à l’échelle du Grand Douaisis.

Le desserrement des ménages

Mais alors pourquoi une baisse à Douai et sa proche agglomération ? « On a beaucoup de mal à expliquer cette chute, car il y a tout de même des territoires attractifs dans le Douaisis. On ne peut proposer que des pistes d'explications. » Et l'une d'elles est un phénomène constaté dans toutes les grandes villes : cela s'appelle le desserrement des ménages. En clair, il y a des jeunes qui quittent leurs parents, des personnes qui divorcent, cela constitue donc des ménages plus petits mais qui nécessitent plus de logements. « Quand deux personnes divorcent, là où il fallait un logement avant, il en faut deux, précise Anne-Sophe Pouzols. Les jeunes qui partent vivre seuls ne sont pas encore en couple, donc une personne égale à un logement. Donc même si le parc de logements augmente, la population diminue quand même car la taille des ménages est plus petite. C'est assez classique dans les grosses villes. »

Plus de logements mais moins d’habitants

Douai ne serait donc pas une exception, surtout avec son bâti ancien, qui oblige ceux qui déménagent à s'installer en périphérie, où le logement est moins cher, plus grand, avec un jardin, surtout lorsqu'il y a des enfants, et donc une plus grosse famille. Et dans les zones pavillonnaires, les familles qui ont acheté leur logement y restent parfois toute leur vie, même quand les enfants sont partis, ce qui empêche que les plus grandes maisons soient utilisées par les plus grandes familles. Cette hypothèse du desserrement des ménages est confirmée par les chiffres du logement : de 1999 à 2009 dans le Douaisis, on a gagné seulement 700 habitants pour 7 000 logements construits. « Il a fallu construire dix fois plus de logements que l'on a gagné d'habitants ! Ce sont des besoins qui évoluent avec la société. Et chez nous, ça a commencé assez tard, car nous sommes encore une population assez jeune avec des foyers plutôt grands. En France, il y a 2,26 personnes dans un ménage, contre 2,50 dans le Douaisis. » Qu'est-ce que ça veut dire pour les maires de ces communes qui perdent des habitants ? « Les élus, s'ils veulent stabiliser leur population, doivent construire et créer des logements, car s'il y a trop peu de nouveaux arrivants, la population se stabilise ou baisse. » Mais les logements ne sont pas le seul critère d'attractivité : y a t-il assez d'emplois ? Par ailleurs, le SCoT va se pencher prochainement sur les jeunes, une problématique demandée à la fois par la Cad et la CCCO.

(d'après l'Observateur du Douaisis du 4 février 2015)