lundi 29 février 2016

Plumes, strass, hip hop, rap, et polka avec Festimars


Comme chaque année à pareille époque, à l'occasion de la ducasse, c'est le retour de Festimars avec trois jours où danses et chansons de tout style rythmeront la vie des Guesninois(es), jeunes et moins jeunes, car il y en a pour tous les goûts


Cela débutera vendredi 11 mars à 20 heures avec Dream’s Folies, revue traditionnelle et authentique, créée selon l'héritage des grands cabarets parisiens. À travers de prestigieux tableaux de plumes et de strass, le show retracera plus d'un siècle de Music-hall et vous entraînera dans les plus folles années de la Revue en sublimant la femme dans un mélange subtil de chorégraphies enivrantes et de costumes somptueux… (Entrée 5 €)

Samedi à 16 heures, place au hip hop  et au rap avec les groupes Break air J’style de Pecquencourt, Phenix School de Somain, et le chanteur de rap Felnow dont les vidéos sur youtube culminent à plus de 30 000 vues (Entrée gratuite)

Dimanche, dans le cadre d’un thé dansant, dès 14 heures, la Pologne vous émerveillera par ses chants et ses danses avec le groupe Sokols. Cette société d’Abscon perpétue la culture et les traditions polonaises depuis sa création par une poignée d’émigrés polonais. Elle compte actuellement 55 exécutants et la prestation des danseurs parés de costumes authentiques est très prisée et appréciée du public.

Mais on pourra aussi danser avec l’orchestre Musykanty qui, depuis 2007, voyage de scène en scène dans toute la région nord pas de calais jusqu'à la lisière de Paris, avec des prestations principalement rythmées de sonorités folkloriques polonaises (valses, polkas, tangos...) ainsi que les danses de salon (madisons, rocks, letkiss …) (Entrée : 5 €)

jeudi 25 février 2016

L'église Sainte Aldegonde prend l'eau

La teinte plus foncée des briques à l'angle des façades nord et ouest révèle les infiltrations par la toiture

Les pluies récentes ont révélé un peu plus ce que les paroissiens avaient déjà remarqué depuis quelque temps, (et que la lecture du reportage paru dimanche sur l'état préoccupant de certaines églises de l'arrondissement a mis en émoi), à savoir qu'une fuite de la toiture de l'église Sainte Aldegonde est en train d'endommager  l'angle des façades nord et ouest de l'église comme le montre bien la photo prise mercredi sous le soleil avec une teinte plus sombre à l'endroit où les briques sont gorgées d'eau. 

Le résultat est déjà visible à l'intérieur où des taches noirâtres se développent sur les volutes des ogives justement à l'endroit des infiltrations. La mairie,  alertée, va prendre les mesures d'urgence nécessaires. La rénovation de la toiture date de 2001.

mercredi 24 février 2016

PARFAIT ACCORD À ACCORD MUSICAL

La symbiose est parfaite à « Accord musical » entre la chorale et l'harmonie. Preuve en est : les 114 membres cotisants, auxquels se joignent une trentaine de bénévoles non pratiquants, ont approuvé unanimement les bilans de l'année écoulée moral et financier et le programme 2016, présentés tour à tour par Monique Delannoy la présidente, Herwin Kwiatek, le chef d’orchestre et Luc Verwaerde, trésorier.




Pour 2016, c'est la première fois que des contrats sont déjà signés avant l'assemblée générale (Prouvy et Seclin) . Treize sorties ou concerts sont programmés au total.

La vitalité et la bonne humeur semblent être la règle, tant à la chorale qu’à l’orchestre, lequel avec un effectif de 36 musiciens, souhaite selon le désir d’Herwin, intégrer de nouveaux jeunes. Quant au choeur, constitué de 90 membres, Karine Le Roux, qui le dirige avec une infinie patience, souhaiterait y renforcer les voix « ténor » dont le nombre est un peu faible. On peut d’ailleurs s’inscrire toute l’année, tant à la chorale qu’à l’harmonie, pour une cotisation de 10 €. Répétitions à la salle de musique Jules Lekien, le mardi de 19 heures à 20 heures 30 pour l’orchestre, et le mercredi de 18 heures à 19 heures 15 pour la chorale. Avis aux amateurs.

Le Montalys, c'est parti



Depuis 2009, Foncialys se bat en vain pour aménager un terrain de 9000 m2 en lotissement . Aujourd'hui, il voit enfin le bout du tunnel avec l'instruction des permis de construire...

C'est le 14 octobre 2013 que Renault Neveu, gérant de Foncialys a obtenu,  le permis d’aménager ce vaste terrain de 9000 m2, situé boulevard Croizat derrière la friterie Lionel. Les fouilles archéologiques réalisées au printemps 2014, et la garantie de bonne fin des travaux accordée par la DDTM (direction départementale des territoires et de la mer), le promoteur croyait pouvoir livrer les voiries et réseaux fin avril 2015 et laisser les nouveaux propriétaires des 20 parcelles, libres de constructeurs, réaliser leur maison dans la foulée. Mais depuis le 1er juillet 2015, c'est la CAD qui instruit les demandes de permis de construire et a tout rejeté en bloc au motif que le nombre de tuiles par mètre carré était de 10 ou 20 pour les constructeurs au lieu de 11 et 22 comme stipulé par le règlement du lotissement. La semaine dernière, un permis modificatif global a été accordé au lotisseur en vue de débloquer la situation et les notaires pourront donc instruire à nouveau les actes de vente en attente de permis de construire,  tandis que les banques pourront débloquer les prêts demandés. Il reste encore cinq terrains disponibles au prix de 52 à 57 000 €, dont les superficies varient de 250 à 360 m² pour des façades à rue de 10 à 12 m, (à quoi s'ajoutent 4230 € de frais de notaire et 1200 € de frais de bornage). Certes, les terrains sont de taille exiguë mais le promoteur a expliqué  aux riverains, lors de la réunion de bornage, que le SCot (schéma de cohérence territoriale) l’avait contraint à  passer de 12 lots, prévus au départ, à 20  mais qu’il n’avait pas cédé à la demande d’un immeuble collectif supplémentaire. Ouf, diront les riverains en émoi...

Pour rappel

En juin 2009, ce terrain, acquis depuis plusieurs années par la famille de l’ancien maire, quand c’était encore un champ agricole, puis un  terrain à bâtir grâce au Plan d’occupation des sols, a fait l’objet d’une décision controversée de non-préemption par le conseil municipal de l’époque au profit de Foncialys.