samedi 24 juin 2017

Pétition pour le retour à la semaine de 4 jours de l'école républicaine et sondage municipal

Les parents d’élèves font circuler dans les 3 écoles une pétition qui remporte un vif succès, prônant le retour à la semaine de 4 jours dès la rentrée de septembre 2017, compte tenu des annonces faites par le nouveau gouvernement.
En voici le texte : « La coupure du mercredi (pour les activités ludiques) est indispensable au rythme d'apprentissage de l'enfant (de nombreux chronobiologistes, pédiatres et enseignants ont pu l'expliquer, de nombreux parents l'ont constaté)
Dans un souci d'anticipation, comme l’ont déjà fait plusieurs communes de France, nous souhaiterions mettre ce retour à quatre jours à l'ordre du jour du prochain et dernier conseil d'école afin que cela soit effectif dès septembre 2017  (dans l’hypothèse où le décret Macron paraisse bien au Journal officiel dans l'été) » Il reste maintenant à convaincre la municipalité.






À la pétition des parents d'élèves en faveur d'un retour à la semaine de 4 jours, déjà signée plus de 200 fois, la municipalité a répondu par un sondage distribué à tous les parents, où elle leur demande de se prononcer : «Souhaitez-vous conserver l'organisation actuelle de la semaine scolaire avec les TAP (1) ou revenir à la semaine scolaire de quatre jours». La réponse étant à déposer avant le 3 juillet. Ceci, afin de vérifier que la pétition recueille bien l'assentiment du plus grand nombre, sachant, comme précisé dans la lettre du maire aux parents que  "Cette nouvelle réforme ne devrait être généralisée qu'à la rentrée 2018 et (que) le décret annoncé n'est pas encore paru."  D'ailleurs, "Ce ne seront pas les maires seuls qui décideront d'un éventuel retour à la semaine de quatre jours mais aussi les directeurs académiques des services de l'éducation nationale." Autant de précautions oratoires pour faire comprendre que rien n'est acquis dans l'immédiat ...



(1) Temps d’Activités Périscolaires

Au conseil municipal du 14 juin suite : Des travaux accélérés par une anomalie comptable

 Des crédits inespérés suite à une erreur comptable

C’est avec un plaisir non dissimulé que le conseil municipal vient d'annuler sa délibération d'affectation des résultats budgétaires 2016, votée en avril dernier, du fait d'une anomalie repérée dans le logiciel comptable. Cela avait entraîné un report en section de fonctionnement de 34 735,01€ en trop. Du coup, les crédits correspondants sont désormais inscrits au budget 2017 en investissement et vont permettre d'accélérer les travaux concernant le piétonnier Coeur d'îlot. Ceux-ci ont été confiés, suite à un appel d'offres, à l'entreprise Jean Lefebvre Nord, pour un montant total de 118 275,05 € ht. Mais ce n'est pas tout, ces crédits inespérés vont aussi permettre d'avancer dans l'aménagement de l'aire de jeux au parc Pecourt, dont les anciennes installations ont été enlevées par sécurité, causant la déception des nombreux enfants, habitués des lieux.

Jean-Marie Devaux (CLP)

samedi 17 juin 2017

AU CONSEIL MUNICIPAL DU 14 JUIN



Les sessions du conseil municipal sont parfois l’occasion d’évoquer, au détour des délibérations, les préoccupations du moment, comme la recrudescence des actes de vandalisme et des dégradations dans la commune.
Ainsi, ce mercredi 14 juin, à la dernière réunion, un débat désabusé a suivi l’acceptation d’un remboursement de 4 332,35 € par l’assurance, pour des dégradations commises, suite à des actes de vandalisme en novembre 2016, à l’école Elsa Triolet et à la médiathèque, par des individus encagoulés, repérés mais non identifiés par les caméras de surveillance. «  Ces actes de vandalisme sont trop courants à notre goût, et nous avons demandé des passages de police plus fréquents  », s’est indignée la maire Maryline Lucas, qui déplore en outre de nouvelles dégradations à la PMI, au tennis, etc.
Et pour couronner le tout, depuis quinze jours, une voiture incendiée, sans plaque, stationne sur le parking du nouveau cimetière. La police, alertée à plusieurs reprises par téléphone et par mail, vient tout juste de procéder aux constatations et à l’enlèvement du véhicule ce jeudi matin.
À côté de cela, les indemnités de sinistre de 3 540 €, pour un dégât des eaux à la toiture de l’église Sainte-Aldegonde et de 4 426,37 € pour un coffret électrique, grillé par la foudre au stade Delfosse, sont passées presque inaperçues, autant que l’absence à cette réunion des six conseillers d’opposition.